Chapitre 10

Nous avions prévue d’attendre Nathalie devant la porte du lycée ça faisait une semaine que elle n’était pas venu, mais lorsque elle était arrivée j’avais l’impression que la peur c’était immiscée en elle, elle ne voulait pas le voir, il lui avait fait trop de mal, dès qu’elle me vue, elle courut vers moi et me sauta dans les bras :

-Salut ma belle, ça vas ? On ne ta pas vus depuis une semaine tu tes bien reposée ?

-Oui, oui ça va mieux, je ne veux juste pas le voir…

-Mais oui ne t’inquiète p…

Je fus coupé par Julie qui courait vers nous, quand elle vit Nathalie elle fit une grimace et s’arrêta, nous la rejoignîmes :

-Qu’es qu’il t’arrive Julie?

-Salut, euh Nathalie il vaut mieux que tu rentre chez toi…

-Pourquoi ?

-euh je je…

-Bah, alors on a perdu sa langue, tien mais c’est la loozeuse, alors on se fait larguer même pas après 1 journée c’est vrai que vus comme tes moches personne veux de toi…

-Toi tu vas fermer ta grande gueule Britthany avant de critiquer les autres regarde toi ainsi que tes deux toutou dis moi ton neurone ne se sens pas trop seul ? Si il veut de la compagnie il vas encore devoir attendre longtemps… Maintenant casse toi.

   Britthany partit vexée et je me retournai vers Nathalie, elle pleurait, je la pris dans mes bras

Démon me regardait, je croisa son regard il comprit et m’accompagna ramenée Nathalie chez elle, Julie elle nous suivait discrètement elle allait restée avec elle. Arrivé je les laissa et Démon et moi partîmes en direction du parc, main dans la main. Nous nous assîmes sous un arbre et je m’endormis sur ses genoux, je fis un drôle de rêve : je me voyais avec une fille je sentie le besoin de courir vers elle mais plus je courais plus elle s’éloignait, je criait sont prénom « Maria ! » et je me réveilla en sursaut et en larme …

-«  Que c’est-il passé, me demanda t-il paniqué.

-Qui est Maria !

-Ta sœur…

-Quand il prononça se mots un essaim d’image m’apparu moi jouant avec une fille qui me ressemblait, la douleur était atroce je prononça son nom « maria » d’une petite vois et perdis connaissance…